Quelle est notre position par rapport à l'autonomie professionnelle que nous affichons ? L'avons-nous subie ou choisie ? Ou les deux successivement ?
Ceux qui ont eu un ou des accidents de parcours professionnel sont dans deux cas de figure :
• soit, il ont découvert, parfois sur le tard, qu'ils étaient passé à côté de la réalisation d'eux-mêmes, de l'accomplissement personnel ou d'un objectif de vie. Ils se sont tournés vers l'indépendance, sous l'une des formes ou statuts possibles,
• soit, on les a poussé dehors, et au cours d'un accompagnement individuel ou collectif, ils ont vu une piste s'ouvrir, mais qui trop souvent reste à leurs yeux un pis aller, une solution d'attente, avant de retrouver l'idéal du CDI “sécurisant”.
Ceux qui davantage choisi leur autonomie se recrutent parmi les profils suivants :
• ceux qui ont su “faire le deuil” des carrières linéaires, en vivant dans la réalité de notre vie du 21ème siècle,
• ceux qui abhorent les carrières linéaires justement, et ont toujours su profiter des opportunités qui se présentaient autour d'eux, sachant déjà les repérer, ce qui est un signe d'écoute indispensable pour nos métiers,
• ceux qui préfèrent, par tempérament, l'interdépendance, riche de connexions, des métiers du conseil, de la formation, de l'expertise ou de la prestation de service.
Dans quels cas de figure êtes-vous ? Témoignez sur ce blog. Je trouve, chaque jour, plus intéressante, la variété des profils, des origines professionnelles ou géographiques, des “professionnels autonomes”, dans notre grande région Aquitaine et ses voisins proches.
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