Lu dans un "billet d'humeur", Pierre Blanc-Sahnoun se sépare d'une conception du coaching qu'il ne partage plus : humour et humeur dans son article intitulé "Ciao coaching...".
Extraits : J’ai quitté le coaching un dimanche matin, le 1er octobre 2006, en lui laissant un petit mot d’adieu bien en évidence sur la table de la cuisine. Je n’avais pas franchement grand chose à lui reprocher, à part que ces dernières années il avait eu tendance à prendre de plus en plus de bide et aussi la mauvaise habitude de se croire le centre du monde, à force de voir sa bobine dans les médias.… … J’ai été fait coach à la force du poignet, par la grâce d’une boîte de 100 cartes de visite qui me proclamaient « coach d’entreprise" à la face de l’univers, tant il est vrai que cet aspect de proclamation est une dimension essentielle de création de notre identité. … … Pour autant, cela ne me dit pas ce que que je vais bien pouvoir raconter aujourd’hui sur ma carte de visite. … … « Consultant » me semble un peu grand pour moi. « Thérapeute » un peu trop médical, … … Finalement, j’aime bien « passeur », même si cela fait un peu tarte sur une plaquette quadrichrome de Grand Maître du Business. Passeur de témoin d’une histoire à l’autre, et du coup témoin du passage par le point d’inflexion, ce Cap Horn où l’expérience de vie du client se réorganise sous son regard et dont le sillage fait un peu tanguer aussi la nôtre.
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vendredi 2 février 2007
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